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De la vilenie en exemplarité

27 Mai 2022 , Rédigé par Patrice Faubert

Notre madeleine de Proust
Et hop, allez, ouste
Cortex cingulaire antérieur, zone dorsale
CCAd de ce qui fait mal
Blocage des mauvais souvenirs
Mais alors
Quand cela dort
Quel avenir
Pour le réchauffement climatique
Quel avenir
2020, du grand incendie
De presque feu l'Amazonie
Neuf millions de reptiles carbonisés
Dix-sept millions d'animaux brûlés
Au tout éradiqué
Et sans cesse, l'on réédite
Pour que la messe soit dite
Jamais le moindre répit
Pour toutes les tragédies
4,9 millions de gens d'Ukraine
Qui pour fuir, se démènent
Depuis le début du conflit
D'une guerre déclenchée par la Russie
Et ce au 18 avril 2022
Avec en France, des élections
Qui ne peuvent, ne pourront rien changer
Mais au contraire, tout continuer !
Comme dans certains pays
Du côté de l'Arabie
Pas de la démembration
Comme sous feu ( 1533 -1592 ) Montaigne
Du siècle qui saigne
L'on coupait le délinquant en cinq morceaux
La tête, les deux bras, les deux jambes
Pour ne plus être ingambe
Cela était un spectacle hideux et idiot
Puis, les morceaux étaient dispersés
Dans la ville, en exemplarité
Donc, dans certains pays
Et encore aujourd'hui
C'est de la lapidation
C'est de la pendaison
C'est de la décapitation
D'une vilenie l'autre en continuation
Comme un hommage à la démembration
Mais tout ce que l'on ne vit pas
Mais tout ce que l'on ne voit pas
Mais tout ce que l'on ne connaît pas
Mais tout ce que l'on entend pas
Est pour toi, moi, nous, lui, elle, sans existence
D'un autre temps, autre univers, d'une autre engeance
De l'invisibilité
Des horreurs innombrables du passé
Et encore même de notre immédiate actualité
Ainsi, à New Delhi
Avec son air mortifère et si pollué
Pour le nouveau-né
C'est comme si, déjà
Douze cigarettes, il allait fumer
Rien que du fait de respirer
Du gyrus fusiforme
Pour des visages pollués
Du colliculus supérieur
Avec une vision entravée
Avec de la gêne pour identifier
Le corps, le visage, et tout l'émotionné
Mais, c'est surtout le corps qui exprime
Bien plus que le visage, le corps imprime
Le langage du corps
Et à qui le visage, pourtant rusé, donne tort
Tout préjugé, la réalité du fait, le tord
Certes
Des gens qui sont remplis de l'alacrité
Sont là, pour l'horrible, le dénoncer
En effet, face à cela, aucune privauté
Ainsi, cinq mille terrains de football
Par jour, en Amazonie, en déforestation
De toute une bêtise en infestation
Cela est devenu d'ailleurs prégnant
L'on fait trop peu, partout, et c'est si urgent
Mais, pourtant, les êtres humains parlent
Environ quatre heures par jour
Utilisant environ seize mille mots
La femme deux-cents de plus
Exprimant le plus souvent, nos maux
Entre 30 et 40 pour cent environ de ces mots
Se rapportant
Et à des relations personnelles
Et à des expériences personnelles
Pour paraphraser, là
Le psychiatre et neurologue, expert de l'addiction du ça
Manfred Spitzer
Et dès que l'on réfléchit
L'on devient, par la force des choses, révolutionnaire
De et en logique formelle qui suit !

Patrice Faubert ( 2022 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

 

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La confortation des boniments

23 Mai 2022 , Rédigé par Patrice Faubert

L'on nous fige
Dans une opinion
Dans une condition
Dans une tradition
Certes
Divers déterminismes sociaux en habituation
Dans une attitude
Dans des habitudes
Dans nos certitudes
Et après
Difficile d'en partir
Difficile d'en sortir
La porte est fermée
Elle est perdue, la clef
Et dans un rôle à jouer
Par les autres, nous sommes enfermés et coincés
Il faut enfiler le costume
Pour ne pas déroger à la coutume
Pour ne pas déranger les habitudes
Fixation dans des postures costumes
Ainsi de cet exemple anthume
De la ravissante patineuse sur glace
Katarina Witt ( née en 1965, en Allemagne de l'Est ) le top
Femme multi-titrée, Monde, 0lympique, Europe
Un corps en tempête
Un pays en fête
D'une vie décortiquée, il fut un temps
Par la Stasi, de son emploi du temps
Comme une sorte de " The Truman Show "
Show de la propagande, propagande du show
De toute image, impossible de se défaire
C'est comme gravé dans le marbre, du spectaculaire
De la crotte d'un chien sous un pied, pour s'en extraire !
Comme aussi, des paradoxes historiques
Qui n'ont rien vraiment d'héroïques
De feu ( 1638 - 1715 ) Louis le quatorzième
Avec en âge dentaire, dès le trente-huitième
Des dents pourries, il était le perdant
Il était donc un sans-dents
Le sucre, déjà, à cette époque, ravageant
La noblesse, la mode royale, la suivant
Les nobles étaient donc des sans-dents
Les paysans
Eux, avaient de saines dents
Car le sucre, coûtait alors, très cher, trop d'argent
Et donc, la petite ou grande noblesse, qui jamais
Noblesse qui en cachette ou discrètement, riait
Car, forcément
L'on évitait de montrer son absence de dents
Cela aurait fait très mauvais effet
Comme de montrer ses parties génitales
D'un orifice l'autre en continuité normale
Tout ce que nos mangeons ou buvons
C'est du médicament, de la biologie, de la chimie
Sur 48 thés ou tisanes analysés
La moitié des thés contiennent des résidus
De pesticides, de l'industrie, c'est comme un dû
Pour un tiers, pour les tisanes, horrible mue !
Pour le prétendu biologique
Ce qui aurait pu amuser, le jadis, moins chimique
Poils de rongeurs, fragments d'insectes
Et parfois, quelques cochonneries
Pendant qu'en Europe
Et ailleurs, c'est aussi du top
80 pour cent de la biomasse
Des insectes ailés en disparition
Des néonicotinoïdes qui cassent
Spécialisation de la hiérarchisation
Hiérarchisation de la spécialisation
Le monde devenant une échoppe putride
D'où l'on ne peut plus être apatride
Même en quenottier d'optimisation
Du biais d'optimisation
Du biais de confirmation
Toute la fonction des convictions
Avec surtout le biais de confortation
Tout ceci en oxymoron
Nous sommes dans le four des conventions
Nous sommes dans le four des traditions
Nous sommes dans le four de notre engrammation
D'un moment, d'un pays, d'une époque
D'une région, d'un temps, engrammation en défroque
Combustible, comburant, chaleur
Le four comme invention majeure
Mais tout jugement est un leurre
Professionnel ou amateur
Du bonheur comme du malheur !
 
Patrice Faubert ( 2022 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Kolyma des nuisances et malfaisances

16 Mai 2022 , Rédigé par Patrice Faubert

12 septembre 1948
Garry Davis ( 1921 - 2013 )
Crée le mouvement des citoyens du monde
Mais en fait
Avec ou sans se souhait
Qu'il le veuille ou pas
Chaque être humain, et ce, pas après pas
Est citoyen du monde
Est citoyenne du monde
Car la planète Terre
N'a naturellement aucune frontière
Ou bien alors, ce sont des frontières
De toutes les guerres, et donc artificielles
De ce fait, aucune frontière n'est belle
Hélas
Seules les substances toxiques
Et là, il y a comme un hic
Comme les rayons uraniques
Qui se jouent de tous les passeports
Aucun contrôle douanier ne s'en sort
Ainsi, de la ville de Narbonne
Quand de la radioactivité n'est pas bonne
Quand une usine d'uranium
Au tout radioactif, la bêtise, au summum !
Feu les savants
Henri Becquerel et les Curie
En seraient tous les trois, très ou pas surpris
Prix Nobel de physique en mille neuf cent trois
Et qu'ils se partagèrent tous les trois
Car, déjà, dans un lointain passé
L'on connaissait, le pour, le contre, de la radioactivité
Avec tous les potentiels dangers
Comme pour toutes les nuisances
Comme pour toutes les malfaisances
Mais l'on tient très peu compte
De l'Histoire et de ses acomptes
Et absolument tout, ainsi, peut se recommencer
Il y eut la Kolyma
Et depuis, ailleurs, ici ou là
Donc, Kolyma, zone de déportation de camp stalinien
Le plus atroce des goulags, voilà
Environ, neuf cent mille détenus
Environ, trois cent mille décès
Toute vérité fait peur car elle est nue
Difficile de ne pas interpréter des faits
Donc, pour le goulag plus classique
Rien que le froid, en pire coup de trique
Environ vingt millions de personnes détenues
Environ deux millions de gens morts ou disparus !
Et sans doute, beaucoup, beaucoup, plus
De certaines réalités non perçues, en surplus
L'Histoire fait d'horribles siestes
Que nous transformons en de divertissantes saynètes
Pas esbaudissant, et cela n'est pas rien
Alors, qu'encore, le mot vagin
Est encore et toujours tabou
Du patriarcat phallocrate, qui le salit, c'est tout
L'on en voit les saillies, partout, et en tout
Avec toutes les obsessions induites
Des frustrations sexuelles, le refoulé qui médite
Et tout ce qui s'ensuit
Et tout ce qui s'y inscrit
Guerres, conflits, territoires, hiérarchies, patries
Nations, religions, idéologies
Et voilà, la mafia catholique
En sa papauté si peu critique
Nonnes tripotées ou violées
Exploitées, marchandisées, et même, si besoin, avortées
Non pas seulement en Afrique
Mais aussi en Europe, mais aussi en Amérique
L'argent du viol
Le viol par l'argent
Tout rapport sexuel forcé
Ou tout rapport sexuel prostitué
C'est ainsi du rapport sexuel, violé
Toutes les femmes prostituées sont donc violées
Tous les hommes prostitués sont donc violés
Dans la réification, c'est au tout violé
Forcément, car cela est sans affect, sans vrai accord, sans gratuité
Comme aussi de nos sols de terre, si maltraités
Comme aussi de nos sols de terre, si souillés ou si dénaturés
Car, vraiment, toutes choses sont en intimité
D'ailleurs, dans un gramme de terre labourée
Dix milliards de micro-organismes, trop souvent assassinés !
 
Patrice Faubert ( 2022 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Du Gyps fulvus et du plancton

3 Mai 2022 , Rédigé par Patrice Faubert

" Il est certain qu'un lobby extrêmement puissant-résultat d'une alliance entre les fabricants, des médias et de nombreux pédagogues ( pas tous ) nous promeut quotidiennement l'avènement d'un âge d'or de l'éducation par la grâce des technologies numériques "
 
Manfred Spitzer ( Les ravages des écrans. Les pathologies à l'ère numérique ) Ed: L'échappée
 
Entre
Le septième siècle
Et le dix-neuvième siècle
Dix-sept millions
Ou plus, de personnes, c'est selon
Furent razziées
Furent maltraitées
Furent vendues
Par des négriers musulmans
Pour l'injustice, tous les pays, superman
De nos jours
Toujours l'esclavage qui court, qui court
Quinze millions d'esclaves domestiques
Inde, Chine, Pakistan
Mauritanie, Congo, Nigeria
France, Ethiopie, d'autres aussi, voilà
Gens importés, vendus ou loués
D'un esclavage l'autre
D'un pays l'autre
Quarante millions de personnes
Réduites à l'esclavage dans le monde entier
Avec du mariage contraint, du travail forcé
Comme en Asie, et dans le Pacifique
Mais partout, finalement, tout est contraint, tout est forcé
Avec l'organisation du monde par le fric
Et plus encore, pour la pauvreté, du fouet, de la trique
Sans compter l'esclavage salarié
Sans compter l'esclavage chômé
Sans compter l'esclavage retraité
Avec juste, et encore, de quoi manger
Et de cela, personne ne peut en réchapper !
Sous le capitalisme privé
Sous le capitalisme étatisé
Tout est esclavagisé ou prostitué
Avec plus ou moins d'habileté
Tout étant bien scotomisé
Dans un tout, de nos jours cyberpathologisés
Contre cela
Pas de l'abri antiatomique
Quand de la menace nucléaire revient la musique
Six mille euros le mètre carré
Pour environ quatorze mètres carrés
Quatre mille cinq cent euros
Le mètre carré
Douze personnes, vingt six mètres carrés
Sur trois étages, cent seize mille euros
Avec à cent quarante neuf euros
Un compteur Geiger pour mesurer
Tout un comble de l'absurdité
Quand se généralise partout, de la radioactivité
Une grande fluidité
Dans la démence faussement insoucieuse
Et contre cela, l'on a beau criailler
Rien ne semble pouvoir, vraiment, changer
Avec l'argent continuant de nous tuer
L'Euro valait
Un dollar soixante en 2008
L'euro vaut
Un dollar dix en 2022
Donc
C'est ce que nous voulons
C'est ce que nous valons !
Avec tout un gangstérisme politicien et assassin
Crapulerie sachant se rééditer sans fin
Certes
Il y a encore des espèces sauvages d'abeilles
Là, de la vraie valeur, cela n'est pas pareil
Environ
Mille espèces en France
Deux mille espèces en Europe
Vingt mille dans le monde
Et aussi, nous l'oublions
Car, jour après jour, nous le détruisons
Ainsi, du plancton
Car, la moitié de l'oxygène sur la planète Terre
Provient et est le produit du plancton
La nature nous donne des leçons
Le carbone, les électrons, le plancton
Le lait vital, sort, pour toute vie, d'indispensables nichons
Quand la technologie en est la contrefaçon
Ainsi
Du Gyps fulvus
Vautour fauve, éboueur pas minus
Ne tuant jamais le vivant
Du cadavre, de la charogne, au tout recyclant
Pouvant vivre environ quarante ans
De la montagne,au tout nettoyant
Un véritable écologue, charmant
2,70 m d'envergure, 8 à 11 kilogrammes
93 à 120 cm de longueur
L'on ne peut lui trouver le paronyme
Tant il est utile, inoffensif et anonyme !

Patrice Faubert (2022 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 

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Paraphysique du hirak débouté

1 Mai 2022 , Rédigé par Patrice Faubert

15 juillet 1893
Aide médicale gratuite, en création
Mais comme rien n'est gratuit, ô hallucination
Encore une blague capitaliste
Comme aussi une plaisanterie de dentiste
Normes culturelles en production
La pauvreté soumise à toutes les dominations
Mais
Aussi, en vécu différent, la richesse, d'une certaine façon
De fait
Et même pour les prétendus décideurs
Qui ne décident rien
De quoi se marrer
Car, il y a les lois du marché
Malgré toute une vantardise
Malgré toute une mignardise
De la folie marchande toujours en crise
De toute une exsudation méphitique
Du système d'argent
Car, il nous vit, l'argent
Avec une vie pour les gens
Seulement, la vie de l'argent
Nous en sommes les pantins, les agents
Ainsi
Les riches vivent connement
Ainsi
Les pauvres vivent connement
Avec
Toute une quérulence étatisée
De l'impérialisme des sociétés et des individualités
Depuis la naissance, c'est appris
Toute personne autre que soi
Et du capitalisme quel qu'il soit
Cela est comme l'unique vraie loi
Est donc comme une possible personne ennemie
Avec partout la guerre
Pas seulement en Ukraine
Pour des territoires et des frontières
Des tyrannies variées qui vont et qui viennent!
Et la vérité
Ne peut avoir que des convictions
Par-delà les traditions et les conventions
Elle est sans pays et sans armée
Comme jadis, pour s'opposer
Aux essais nucléaires français
Dans les îles du Pacifique, on le sait
Il y eut quelques braves
Pour dire non à cette bave
Certes, dans le monde entier
Des informations sont diffusées
Mais expurgées de toute vraie contextualité
Et donc, souvent faussées ou déformées
Voire carrément tronquées
Par le pouvoir en place
Par la tyrannie en place
Tout pouvoir étant une tyrannie
Toute tyrannie étant un pouvoir
Selon ce qui peut arranger
Selon ce qui peur renforcer
Avec donc
De l'interprétation du faux
Quand donc, il faut
Retrouver du vrai dans le faux
Retrouver du faux dans le vrai, haro
Toute une jonglerie sémantique
Pour de la sociale critique, et à défaut
La société spectaculaire marchande techno-industrielle
Qui a tant de mamelles
Et son lucre à but non lucratif
Dans un domaine où rien n'est limitatif
Alors
Que le fric
Tous les jours, comme un mauvais sort
Nous donne ses coups de trique !
La thune
Le lové
De toute une faconde de sinistralité
Sans le savoir
Surtout, sans vraiment le croire
Chaque être humain en est comme le torturé
Et de sa vie, chaque personne, dépouillée, comme expropriée
Il faudrait contre tout cela
Tout Etat étant policier, voilà
Un Hirak comme en Algérie
Ce fameux mouvement du vendredi
Mais non pas pour des réformes
Mais pour une autre organisation de la vie
Pour d'autres mentalités, sans vice de forme
Avec tous les soins, gratuits
Avec tous les transports, gratuits
Avec tous les loisirs, gratuits
L'argent, donc, enfin aboli
Et donc surtout, apprendre différemment
Et donc surtout, apprendre autrement
Dès le berceau, dès la maternelle
Et oui, donc, dès le commencement
Voilà bien, en laboritien, ma ritournelle
Car, de toutes façons
Si avec l'erreur, des gens et par millions
Et quand bien même, sont en accord
Cela n'en fait pas, la rançon
Pour autant d'une vérité
Car, le capital promeut
Du coin-coin, du bêle, du meuh !
D'ailleurs, animaux plus sympathiques, eux
Donc, des populations
Psychologiquement en édentation
Et c'est navrant mais pas seulement
Car, dès la naissance
C'est le dressage à l'obéissance
De la soumission, de l'impuissance
Avec des comportements d'engrammation
De toutes les humaines conditions
De ce que nous mangeons
De ce que nous pensons
De ce que nous achetons
De ce que nous acceptons
De ce que nous vendons
Rêvons, échangeons, blessons, théorisons
Sexons, tuons, refusons, et d'autres garnisons
Bref, de tout ce que nous vivons
Et dans les WC nous le déféquons
Ou sur du papier, ou du tapuscrit, nous nous vidons
Comme un supervolcan, nous éjaculons
Angoisses, peines, joies, obsessions
Je n'ai aucun talent
Sinon le talent de n'avoir aucun talent
Ou alors, à rebours, à l'envers, sans aucun mitan
Avec, néanmoins, l'étalage du talent
Qui s'exhibe, et partout, se vend
Comme ou de la fausse étiquette
De la contrefaçon en fête
De la substitution qui se répète
Comme en France, avec les poissons
Métaux lourds et de la pollution
Par personne, par an, vingt cinq kilogrammes, ô quête
Pour le reste, aussi, tempête de la défaite !
 
Patrice Faubert ( 2022 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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