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Du catastrophisant se réactualisant

15 Novembre 2019 , Rédigé par Patrice Faubert

Allez les petites, allez les petits
Grève générale expropriatrice, vers l'anarchie
Il faut reprendre, du travail, l'outil
Autogestion généralisée
Mutation des mentalités
Le passé de la vérité
La vérité du passé
Toute une psychométrie revisitée
Du jamais certain
Du toujours incertain
La légende supplantant toute réalité
Sauf, quand on peut prouver
Ainsi
De feu ( 1214 - 1270 ) Louis neuf, le pieux
Semonce comme un aveu
Après sa mort
Des reliques, il devint le sort
Il fut dispersé
Façon puzzle, l'église voulut en profiter
Mais là, de la relique vérifiée
Le faux, l'ayant emporté trop souvent
Des reliques, des momies, des tableaux
L'origine du faux
Le faux de l'origine
Trafic des momies
Trafic des reliques
Trafic des tableaux
D'une époque l'autre
D'un trafic l'autre
Tout s'y tonitrue
Comme de la glu
Comme de la fausse berlue
Trafic de l'information
L'information du trafic !
L'école de la maltraitance
Laïque ou religieuse, maltraitance de l'école
Malaimance comme seule obole
Toute dictature
Avec sa propre stature
De feu ( 37 - 68 ) Néron
Avec sa statue de trente mètres de haut
De feu Staline
Qui partout, faisait le beau
Statufié, du peuple, le gigolo
De feu Hitler
De feu Mao
De feu ceci
De feu cela
Au plus laid
Au plus inhumain
Au plus crétin
Au plus débile
Au plus inutile
Incendiant des mondes
Neutralisant des frondes
Mais sous Néron
( 18 juillet 64 ) l'incendie de Rome
Il y faut le trait de gomme
Cela ne fut pas, d'agir, sa façon
Six jours et sept nuits
Un million de gens, une panique infinie
2019
Et c'est comme si
Le monde entier prenait feu
Chacun, chacune, à la queue
Avec son seau d'eau de dépit !
Pas besoin de Cambridge Analytica
Cette sociologie électorale du cas par cas
Quand l'espèce humaine est dans le caca
Un peu, comme jadis, au Guatemala
Trente ans de dictature formelle
Car, il y a de la dictature informelle
45000 personnes enlevées ou disparues
200.000 personnes mortes, au ni vu, au ni connu
Et cependant
Huit millions d'habitantes et d'habitants, seulement
Le tortionnaire pouvait
Si l'envie l'en prenait
Des psychopathes servant le système
Truands, cinglés, sadiques, le système les aime
Et le ventre d'une femme enceinte, l'ouvrait
La tête du fiancé, l'y mettait
Toute dictature avec ses tortures
Toute dictature avec ses ordures
Sachant toujours se recycler, elle perdure
Non subtile ou subtile
Toute tyrannie en suit le fil
Manifeste, éclairée, visible ou invisible
La faire quimper, la rendre visible
Mais, jamais, de la véritable résipiscence
D'un moment l'autre, la dictature garde contenance
Et tout est dictature, c'est l'évidence
Toujours en quête d'une prévoyance
Elle peut même faire ses confidences
Il n'y a aucun droit de l'individu
Il n'y a pas de droits humains et d'écologie !
Juste le droit
De se taire, de bien la fermer
Ou de faussement contester
Juste le droit
Donc, de voter
Juste le droit
De gâcher sa vie, de crever
Tout Etat étant policier et tyran
Tout gouvernement étant dément
Prophétisant même son effondrement
Non plus s'en cachant, mais catastrophisant
Il n'y a presque plus que des amitiés du système
Se faisant passer pour des ennemis du système
Sur toutes les radios et toutes les télévisions, sévissant !

Patrice Faubert ( 2019 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

 

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La position d'esprit

9 Novembre 2019 , Rédigé par Patrice Faubert

La pauvreté
En tout pays, est attaquée
En France, sous prétexte de fusionner
Toute allocation rabotée ou supprimée
Ou tout est fait, pour décourager
De quoi devenir bonnotiste
Bonnot, plus bandit qu'anarchiste
Sans déni, mais voilà, c'est dit
Ses associés, eux, plus anarchistes que bandits
Ce Bonnot qui à lui tout seul
Tint tête à toute une armée, bien veule
Curieuses et curieux aussi, au moins 30.000 personnes
Mouches à merde, et des flics, les bonnes
Bonnot et ses 600 balles tirées
Au siège du 27 avril 1912,  quelques heures, il put résister
Comme aussi, le 14 mai 1912, Valet et Garnier
Pendant neuf heures, record inégalé
Dans ce monde au tout dictateur
En cela, Macron est à l'heure
Manifestations, et ce ne sont pas des rumeurs
2016 : deux cas de la blessure oculaire
2017 : un cas de la blessure oculaire
2018 : Vingt cinq cas de la blessure oculaire
2019 : Quinze cas pour les huit premiers mois
Quel beau bilan, ma foi
De l'énucléation : neuf
Des fractures orbitales : neuf
Des blessures ouvertes : vingt cinq
De l'âge moyen des blessés : 26 ans
Sous la tyrannie capitaliste, rien de neuf !
Il y a tant de tyrans salopards
En ce domaine, de vrais polards
Certes
C'est peut-être du patoisphysique
Surtout
Pour les mal-comprenantes et les mal-comprenants, toute une clique
Il faut pourtant un décarpillage
Du capital et de toute sa rage
De toute une vésanie généralisée
Car, TOUT, sous le capital, ne peut qu'inquiéter
Toute malfaisance sociale
Se faisant passer pour du social
De fait
L'extrême droite du capital
Est, dans la législation, au pouvoir, en France
Et depuis pas mal de temps, fatal du fractal
Tout y étant régalien
De droite en droite, c'est pas rien
Donc
Un programme d'extrême droite, déjà appliqué
Les gouvernements successifs s'y sont employés !
Résultante d'une position d'argent
Et non d'une position d'esprit
Car, sinon
Le riche vote à droite
Le pauvre vote à gauche
Quoique, cela soit parfois ou souvent le contraire
Dans cette époque si réactionnaire
Et plus que jamais
De la position d'esprit, c'est l'effet
Hors les classes, religions et idéologies
NI DE DROITE
NI DE DROITE
Postion d'esprit
Sans que cela devienne un alibi
Position d'esprit si proche de feu ( 1909 - 1991 ) Maurice Laisant
Qui fut secrétaire de la Fédération anarchiste
Puis de l'UA, Union des anarchistes
Et même pour l'écologie
Elle s'amène la position d'esprit
Plagiant l'imaginaire de l'anarchie
Avec encore, toutes les composantes politiques
Se réclamant de l'écologie, des farceurs et des cyniques
Tout un monde du n'importe qui, c'est bien cela
Pouvant se dire n'importe quoi, voilà !
 
Patrice Faubert ( 2019 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 
 

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La vérité sur la vérité

3 Novembre 2019 , Rédigé par Patrice Faubert

Chaque quidam
Homme, dame
Alors que partout
L'information se diffuse
Et que dans chaque cerveau, elle infuse
Vraie information ou désinformation, mais, comme incluse
En restant toujours quelque chose, le capital ruse
Faisant ainsi, avec chaque signifiant, mumuse
Ne comprenant
Ne retenant
Ne répétant
Que ce qui le conforte
Pour l'ouvrir comme une porte
Toute une cuirasse caractérielle
Qui lui donne tout son sel
Tout le reste
Passe au travers
Tout ce qui nous déstabilise
C'est comme non existant, qu'on se le dise
Comme une langue étrangère
Une simple passagère temporaire
Chaque classe sociale
Codée, engrammée, conditionnée, programmée
Pour la machine du capital, la faire tourner
Et du PDG à l'ouvrier
L'être humain machine
La machine être humain
Dans les films de SF, les machines perdent souvent
Mais dans notre espace-temps de temporalité
Même depuis la première machine à imprimer
La machine a su s'imposer
En vérité, déjà, la machine a su triompher !
Donc, 1377, en Asie, le premier livre imprimé
Après la xylographie chinoise, c'est prouvé
Avant les Gutenberg, Fust, Schoeffer, premiers imprimeurs
Vers 1454, le monde, ainsi, changeait d'heure
Et en 50 ans, après la mort de Gutenberg
Du livre typographié, c'est l'ère
Vingt millions de livres ont été imprimés en Europe
La machine peut conditionner nos comportements
La machine
Nous vit par procuration, c'est navrant
Partout
Elle nous affiche
De nous, elle se fiche
Partout
Elle nous niche
Nous en sommes les fiches
Des codes numérisés, bientôt quantifiés, qui nous défrichent
Et à propos
Du courant anti-industriel
De la curiosité, la critique du réel
Feu ( 1947 - 2010 ) Jaime Semprun, en fit la part belle
On peut le voir faire l'acteur
Mais, depuis, se sont écoulées tant d'heures
C'était il y a une cinquantaine d'années
De Philippe Garrel, ( encore sur Arte ), ce film oublié
" Le lit de la vierge "avec aussi
Le fameux acteur maudit, feu ( 1942 - 1999 ) Pierre Clémenti
La société spectaculaire marchande techno-industrielle
Fragmente, morcelle, isole, aliène, divise, sépare, emmêle !
Et puis, les milieux militants
Toutes idéologies, là, se confondant
Pour la plupart, sinon tous, se détestant
Toute une recherche de la dominance
Le discours logique l'appelant, recherche de cohérence
Chaque groupe ou organisation
Rivalité, dénigrement, calomnie, domination
Et au fond
Qui dirait la vérité
La vérité sur la vérité
De tous et de toutes, serait détesté
Moi, le premier
Et de l'extrême gauche du capital à l'extrême droite du capital
Tout est de la propagande pour le régénérer, stratégie banale
Mais
Le capital n'est pas une immutabilité
Sans vraiment prévenir, il peut, à tout moment, s'effondrer
L'effondrement devra d'une façon autonome, s'organiser
Sinon, de la frontière, du laissez-passer, de l'identité
Tout devenant, une cité, un quartier
Sinon, de l'émeute, du pillage, exactions et viols, bandes organisées
Et peut-être, tout vite, répété
Déjà
Tout rapport dit humain, peut fatiguer
Car tout le monde, d'une façon l'autre, veut dominer
Toute une rééducation
Pour déconstruire toute domination
Sinon, de la sempiternelle répétition
Comme pour la guerre d'Irlande
1968 -1998 ( et avant ) trois mille mortes et morts, en offrande
Nous sommes les réflexes conditionnés du capital
Nous sommes les jouets et les sujets du capital
Chaque être humain en est sa larme
Chaque être humain en est son arme
Mais, partout, des gens se révoltent, sont indignés
Un nouveau départ qui semble s'annoncer
Pas le choix, ou alors, au tout crevé !
 
Patrice Faubert ( 2019 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 
 
 
 

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Solastalgie, éco-anxiété, pathologisation

2 Novembre 2019 , Rédigé par Patrice Faubert

Bientôt, tout prétendu démiurge
En sera pour sa purge
Quand tout être humain devient son propre démiurge
Solastalgie, éco-anxiété
Tout, sous le talon de fer du capital, pour l'alimenter
Du trafic de drogue
Du trafic des organes et donc du genre humain
Du trafic du monde
Du monde du trafic
Du trafic des armes
Des armes du trafic
Non, je ne suis pas désespérant
C'est le fonctionnement du monde, qui est attristant
Du trafic des médicaments périmés
Du trafic des produits pour la pauvreté
Du trafic du tout pollué
Tout, entretient, l'éco-anxiété
Une solastalgie enfin avouée
L'envie de grève de l'acte
Un nouveau pacte
Et de cette société
Qui produit
Qui se nourrit
Du tout pollué
Le moins possible, y participer
Mais
Une internationalisation des transactions
Des transactions de l'internationalisation
L'argent légal, l'argent illégal
Au capital, cela est bien égal
Ainsi, 1600 milliards de dollars, par an
L'argent blanchi, du monde, son montant !
Rien que l'argent de la drogue
Du H, 700.000 fumeurs et fumeuses, en France
Tous les jours et sans résilience
Soit, un milliard de chiffre d'affaires par an
Gens se droguant
Et l'Etat se renforçant
De l'économie parallèle
C'est pourtant pas de l'économie irréelle
C'est finalement pareil, c'est bien évident
Avec toute une structure de blanchiment
Dans la banque, dans l'entreprise, du légalement
Dans l'immobilier, via, Belgique, Algérie, Dubaï, Maroc
Blanchiment par les multinationales
Le fonctionnement même du capital
Blanchiment de ceci ou de cela, solide comme du roc
Saraf ou banquier occulte
Superviseur pour respecter le culte
Collecteur des fonds
Blanchir et investir
Du fric à l'or
De l'or au fric
Dubaï, 25 pour cent, de l'or vendu ou acheté
Du simple collecteur, 0,3 pour cent , d'une somme récoltée
Au HAWALA
Finalement, le monde des affaires, voilà
Chaque trafic légal ou illégal
Avec sa spécificité, c'est bien cela
Du vendu, de l'acheté, tamponné par le capital !
La guerre des trafics
Les trafics de la guerre
35° 92'30.13"N-38-9B'3B.74"E
Position codée des charniers de Raqqa
Des atrocités des djihadistes, tant de cas
La pauvre Syrie
Par divers tarés, anéantie
Le Bashar-al-Assad, russes, turcs, islamistes, au tout terrifiant
Seuls les Kurdes y sont de vrais résistants
Femmes et hommes, seul vrai plébiscitant
Et la Turquie
Des génocides arméniens et alévis
Des centaines de milliers d'hommes, femmes, enfants, massacrés, tués
Toujours, encore, la guerre des territoires
Les territoires de la guerre
Ma religion, mes créations, mes croyances, mon idéologie
Mon chez moi, mon mari, ma femme
Mes enfants, mes biens, ma région
Mon pays, ma patrie
Mon cela, mon ceci
Ma ville, mon quartier, mes parents
Mon, ton, son
Ma, ta, sa
Mes antécédents
Redéfinition du territoire
Territoire de la redéfinition
Et dans certains endroits du monde
Il est plus criant, l'immonde
Démembrement, lapidation
Décapitation, pendaison
Et dans certains endroits du monde
Il est moins criant, l'immonde
De la destruction reconstruction, de la pollution
Technologisation, industrialisation
Des corps et des cerveaux en robotisation !
 
Patrice Faubert ( 2019 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 

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Paraphysique du monumentalisme moderniste

1 Novembre 2019 , Rédigé par Patrice Faubert

Le monde entier est en guerre
Il n'y a donc que des prix Nobel de la guerre
La paix ? Quelle paix ?
De plus en plus de nettoyage ethnique
Turquie, Birmanie, Chine, Afrique
Et aussi tout près de chez soi
Avec les migrantes et les migrants, ma foi
Sans compter les nouveaux empires
Grains de sable, et du silicate, fondant le pire
Emirats arabes unis, sable et désert
85 pour cent de sable, il faut le faire
Zone vide, par endroits, 200 mètres d'épaisseur
Morcellement de la roche
Pour construire de l'artificiel, au tout moche
Toujours de la monumentalité
Toujours du monumentalisme de la médiocrité
Pour en revenir aux migrations
Tous temps, toutes sortes, toutes raisons
USA, des années 30, ruée vers l'ouest
250.000 personnes sur les routes
Famine, pas de travail, panique toute
Tant de gens, encore, de nos jours
Sans domicile personnel, rime de toujours
Nonobstant, tant de logements vides
Vraiment, la solidarité fait le bide !
Samedi 26 octobre, Nantes
De passage, mon drapeau anar, je plante
Manifestation pour les sans logis
Le monde des sans, sans cela, sans ceci
Surtout, donc, pour la pauvreté
Mais l'opulence, aussi, ne peut tout acheter
Comme du tout pollué
Personne, ne pouvant plus y échapper
Car le poumon vert
Costa Rica, six pour cent des terres
Forêt tropicale
Avec ainsi, 75 pour cent de la biodiversité mondiale
Mais
Tout ou presque entretient le système
Partout, presque tout le sème
Et déjà, le tout envahit le presque
Comme du capital, une fresque
L'argent de nos banques
Exterminant, trafiquant, violentant, écrabouillant, comme des tanks
BNP Paribas et autres banques
Qui financent des génocidaires
Le capital en est le limonaire
Et cela n'est pas, hélas, un canular
Sortant de Bansky, où, qui, quand, car
Le monde est si pourri
Il y a donc des traumatismes d'oubli
Il y a donc des mécanismes d'oubli
Signification du même champ
Même champ de signification, se répétant
Subconscient du conscient
Conscient du subconscient !
Il faudrait réfuter toute doxa
Le monde s'effondrant de ne pas l'avoir fait
Tous les conformismes s'annexant, voilà
Sans compter
Tous les anticonformismes du conformisme, holà
Donneuses et donneurs de leçons
Sur elles, sur eux, pas un seul échantillon
Et tous les paradoxes du capital
Toute comparaison y frime dans l'infernal
Comme en Corée du Nord
Fermer sa gueule, d'abord
Mais finalement, comme partout, d'accord
Peu de pollution lumineuse
Agriculture naturelle mais peureuse
Samedi, dimanche, congés
8h de travail par jour, mais impossible de s'évader
Avec, certes, d'inoubliables famines
Du cannibalisme et des rapines
Preuve par le fait, et comme le disait feu Bakounine
Le socialisme sans la liberté
C'est la caserne, soumission bureaucratisée
Tout y est militarisé
Tout y est séquestré
Accumulation primitive du capital
Fondamentalement, dans tout pays, principe banal
Toute vraie relation
L'argent, l'invalidant, ô désolation
Et puis, tout est compétition
Des examens, des concours, du plus révolté, ô sidération
Des examens, des concours, du plus agité, ô désolation
Du plus ceci ou du plus cela, ô consternation, ô abdication !
Pas seulement, donc, du plus s'adaptant
Du plus méritant
Du plus capitalisant
Du plus dément
Du plus conditionnant
Car, maintenant
Avec toutes nos addictions
Et toute addiction
Est finalement comme une occupation, comme une acceptation
Est comme évidemment, une soumission, comme une humiliation
De chacun, de chacune, sa reptation
Des idéologies, des croyances, et des religions
Pas seulement toutes les boissons sucrées
Pas seulement, tabac, alcool, et tous les aliments recomposés
Pas seulement les drogues diversifiées
Et tout le toutim industrialisé
Du dégueulassement bon, aussi méprisé que consommé
De toutes les valeurs
La plupart, sont, en fait, sans réelle valeur
Le monde marchand
Notre monde, n'est pas coruscant
Rien, en effet, n'y est vraiment brillant
Et la pauvreté, s'important, s'exportant
Obus, tracas, fusils
La misère, des soucis, des maladies
La pauvreté, pour tout, se battant
Se loger, se vêtir, manger, remplir d'idiots papiers
De toute une bureaucratie, d'inhumanité, plombée
Guerre de tout contre tout, c'est fou
Tout le monde se corporatisant
Tout le monde se caparaçonnant
Tout le monde, donc, se séparant
Du, chacun, chacune, sa merde, si horripilant
Bref, tout le monde se détestant
Tout le monde, ne s'aimant pas, vraiment
Toi, moi, eux, elles, lui, très certainement
Et même les anarchistes contre les anarchistes
Les gauchistes contre les gauchistes
Les réformistes contre les réformistes
Les islamistes contre les islamistes
Les communistes contre les communistes
Les gaullistes contre les gaullistes
Les fascistes contre les fascistes
Les catholiques contre les catholiques
Ceci contre ceci, cela contre cela, s'en frottant les mains, le fric
Voilà bien, le hic
Mais, en dernier ressort, les capitalistes avec les capitalistes
De gré ou de force, une jonction logiquement fataliste
La fausse critique
Contre la vraie critique
La vraie critique
Contre la fausse critique
Vite mon baluchithère
De tous les temps connus, le plus grand mammifère
Il y a trente millions d'années
Vite mon rhinocéros géant
Il y a 26 millions d'années
Contre les idées de fragmentation et de morcellement
Oui, tout est prêt pour le grand effondrement !
 
Patrice Faubert ( 2019 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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