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Il n'y a plus d'avenir

29 Décembre 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

Il n'y a plus d'avenir
Il n'y a plus que du passé
Il n'y a plus que du présent
Il n'y a plus d'avenir

L'avenir dort
L'avenir est mort

Du passé, du présent, comme avenir
Un passé permanent
Un présent permanent
Un avenir impermanent

L'avenir dort
L'avenir est mort

Passé permanent de l'avenir
Présent permanent de l'avenir
L'avenir est sans avenir
Du commencement dans le finir

L'avenir dort
L'avenir est mort

Il n'y a plus d'avenir
Quand l'avenir est sans avenir
Un avenir impermanent de la chute dans le temps
Il ne pouvait y avoir d'avenir au tout dément

L'avenir dort
L'avenir est mort

Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Les tutelles du genre humain

13 Décembre 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

Deuxième guerre mondiale
L'inévitable guerre du capital
En France
Il y eut environ 300.000 personnes
Qui surent ou qui purent résister
Il y eut environ
Cent mille arrestations
ll y eut environ
Trente mille personnes arrêtées
Torturées, tuées
Mais avec des spécialistes de l'Histoire
Versions différentes, chiffres variant, qui croire ?
Faire la part des choses avant de tout boire
Car avec la sélection par le pire
Toute hiérarchie se crée un empire
Avec en haut de toute échelle
De l'arriviste, de la crétinerie, du cruel
Tout ce qui nous invalide
Tout ce qui nous impavide
Quand le système du capital
Ne peut-être ni écologique ni social
Et
Ce qui n'est pas écologique
N'est pas social
Et ce qui n'est pas social
N'est pas écologique
Tout ayant été fractalement dissocié
Alors que tout est fractalement unifié !
Avec l'économie des profits colossaux
Profits qui atomisent les hôpitaux comme les liens sociaux
Des pesticides
Qui sont à toute compréhension des neuronicides
Et avec vingt pour cent des pesticides mondiaux
En ce domaine, le Brésil est une fermentation acide
Mais contre toute une industrialisation
Qui peut découler aussi de toute une surpopulation
Certes, il s'agit aussi d'une mauvaise répartition
Industrialisation
De l'élevage à toute consommation
Là aussi
Contre ce savoir-faire nazi
Avec un début de résilience
Avec un début de résistance
Agroforesterie biologique
Aquaponie biologique
Et bien d'autres imageries
Contre toute une industrie de la mort
Produisant des poisons pour les corps
Animaux humains
Animaux non-humains
Tout ce que nous mangeons
Alimentant toutes les pollutions
Par tout ce que nous achetons et consommons
Avec surtout une impuissante contestation
Renforçant tout ce que nous contestons
Avec toute une sélection par le pire
De nouveaux prophètes
Nouvelle récupération moins bête
Sachant toujours quoi faire ou quoi dire
Dominantes et dominants
Qui sont aussi dans tout gouvernement
Avec toute une abdication pour les élire !
Et même avec le vote de sororité
Cela n'a pas absolument changé
Il faut dire que pendant longtemps
La femme fut sous tutelle, quotidiennement
De la famille au mari
Pour, donc, toutes les choses de la vie
Sauf pour les courtisanes de jadis
Vilipendées, mais indépendantes, les miss
Il en reste des traces, ainsi
Et dans bien des pays, il en va encore ainsi
Mais...
Toute activité est la pucelle du travail
Qui est du travail sa tutelle
La plus efficace des polices
La plus efficace des malices
Ou bien, des cas de rareté
Surtout, c'est mis de côté
De feu ( 1815 - 1852 ) feu Ada Byron
Comtesse Ada King de Lovelace, aux visions saines
Analyste, codeuse, mathématicienne
Mais, hélas, il n'y a pas de virus de la pensée
Car tout s'apprend, car tout peut se mémoriser
De même les virus du passé, archivés
De Sibérie, quand tout va dégeler
Aucun système immunitaire n'y étant préparé
D'anciens virus inconnus
Comme de nouveaux virus nus
Avec rien en commun
Avec tout en commun
Du souvenir de mai 1968, si l'on se souvient
En version grecque ou en version latine
Et toute une récupération en version des latrines
Car
Que pouvait avoir en commun
Ou trop de tout, ou trop de rien
Une gauche germanopratine
Avec une gauche ouvrière des usines
Quand elles sont les mêmes illusions
Qui achoppent sur de fausses révolutions !
 
Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Aucun complot, stratégie gouvernante

9 Décembre 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

Il y a plusieurs siècles
Dans les châteaux, il faisait froid
Cela ambiançait l'effroi
Murs en pierre
Qui furent vite couverts
D'abord de lambris
Puis de l'art avec de la tapisserie
Quand il s'agissait de se faire du chaud
Avec pour officier, souvent, la salle des bains et eaux
Et quand un noble, de la viande, mangeait
Quatre vingt kilogrammes par an
Un paysan, lui, de la barbaque, mangeait
Vingt kilogrammes par an
Taille, qualité de vie, le tout à l'avenant
Mais en ces temps
Des céréales pour soixante dix pour cent
Pour l'alimentation en général
Avec déjà
Petits châteaux de France
Deux à trois latrines par château
Avec déjà
Grands châteaux de France
Vingt à trente latrines par château
Pour les autres, l'on déféquait, souvent, dehors
Sans que cela soit considéré comme un mauvais sort
Moi aussi, je chie une incorrigible textualité en plein air
Quand l'étron se matérialise en des vers
Tout un idéel
Qui finit dans les poubelles
D'ailleurs, en Inde, toujours et encore
Huit cent millions de personnes chient dehors
Avec toute une culture de la misère
Et diverses castes pour seul repère !
Le fait fossile de toute culture
Le fait fossile de tout environnement
Environnement de la culture
La culture de l'environnement
Tout cela organisant ou pas l'expression des gènes
Idem pour les flux hormonaux qui s'y démènent
Testostérone de l'agressivité
Tout un mythe à dévoiler
Qui rimerait et c'est enthousiasmant
Donc, avec générosité, altruisme, c'est clouant
Au cours des âges du vivant
Et hormis toute culture, peu de changement
Ainsi
De l'homme du paléolithique supérieur
Et même parfois du paléolithique moyen ou inférieur
Une taille moyenne de 1,80 m, environ
Avec surtout de la nourriture carnée
Puis
Au néolithique, l'on rapetissa, et oui
Une taille moyenne de 1,60 m, environ
De la viande, des céréales, des végétaux
Mais souventes fois
Passé, présent, futur, il était une fois
Gens de petite taille, de moyenne taille, de grande taille
Sans qu'aucun document ne me raille
Mais cela n'est pas à une virgule près
Le vrai du faux, le faux du vrai
Surtout en science comme un fait exprès
De nos jours
Nous absorbons plus de calories
Que nous n'en dépensons, c'est ainsi
Dépense énergétique de 2500 calories par jour
Pour un homme
Dépense énergétique de 1900 calories par jour
Pour une femme
Avec le plus souvent, un excès de calories
Et ce malgré une activité physique, ô tragédie !
Quoique maintenant
Et l'on pourrait dire seulement
Deux millions de végétariennes
Et de végétariens en France,
Je suis de cette mouvance
Mais, un gros mais
Pas du caviar d'aubergine, pas de l'excellent mets
Car la plupart des produits végétariens consommés
Sont hyper-industrialisés
Sont hyper-transformés
Ce à presque quarante pour cent
En apport énergétique
Contre trente trois pour cent
Pour les produits omnivores consommés
Mais toutes les mentalités
Sont manipulées, dressées, formatées, et surtout contrôlées
De la servitude volontaire
Le virus de la peur ne pouvant qu'inhiber
La peur du virus ne pouvant que contaminer
Plus encore psychologiquement
Que physiquement
La richesse plus à l'abri que la pauvreté
Le système est à mettre au rebus
C'est par tous ses pores qu'il pue
Chaque jour, de faim, de soif, de maltraitance, des gens vont crever
Ce qui ne peut empêcher
Dans le monde et chaque année
Des fusées qui vont décoller
Avec des matériaux, qui sur des gens, parfois, vont retomber
Comme en Chine, où cela est déjà arrivé
Sur des habitations bien endommagées
Le monde entier est une incongruité
Tonitruant et fissa pour le féconder
Elle est aux ordres toute l'inhumanité
Et voici qu'arrive le tourisme spatial
Et elle arrive la pollution spatiale
Le secret des sources
Les sources du secret, en douce !
Du secret de Polichinelle
Qui peut ainsi voler sans ailes
De la fantaisie Roswell
3/4 juillet 1947
Cela fut bien narré par Fabrice Drouelle
En fait, les services secrets américains
Aux soucoupes volantes, faisant croire, des malins
Pour masquer la nature d'un ballon-sonde
Devant espionner une possible bombe A russe
Et qui s'écrasant
Un imprévisible accident
Devint, OVNI, en avant toute, sus
Ballon de la manipulation hilarante
Feu de tout bois pour la manipulation gouvernante
Et là, création d'une religion cultiste émergente
Aucun complot, c'est de la stratégie dominante !
 
Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Hormonothérapie biopsychosocioculturelle

3 Décembre 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

Quarante mille kilomètres
De murs frontaliers sur la planète
Toute une façon d'être
L'espèce humaine est si bête
Une espèce si minoritaire
Face à d'autres espèces comme les insectes majoritaires
Environ 34600 en France
Environ 887500 dans le monde
Mais peut-être dix à cent fois plus
Chaque entomologiste y allant de son bonus
Plurivers, univers, du stellaire, nature réelle ou nature fictive
Toute une géométrie non commutative
Toute une géométrie commutative
Dans un monde présent sommé à l'alternative
Avec pour modération, soupape de sécurité limitative
Un garde-fou de compensation
De la compensation garde-fou
Alors
Qu'il y a de moins en moins de liberté
Liberté soumise aux lois du marché
Et il n'y a donc aucune liberté
Puisque tout, d'une façon l'autre, est déterminé
En de multiples causes associées
Le comprendre c'est donc cela la liberté
Afin, des divers et nombreux déterminismes, les utiliser
Une notion de liberté
Qui depuis longtemps, fut enterrée
Cela a déjà été
Il y a une cinquantaine d'années
Paris, j'étais allé manifester et défiler
Avec quelques milliers de personnes, en silence
Contre la censure, pour la liberté d'expression, contre la potence
Certes, beaucoup moins
Que pour l'enterrement de feu ( 1802 - 1885 ) Victor Hugo
Où il y eut deux millions de personnes
Certes, beaucoup moins
Pour feu l'anarchiste ( 1830 - 1905 ) Louise Michel
Où il y eut dans les rues, au moins, cent mille personnes !
Mais bien des gens
Formatés d'un temps, et dans l'inconsciemment
Préfèrent renoncer à toute liberté
Pour un peu plus de sécurité
Alors
Qu'à l'écart de plusieurs siècles, donc dans le passé
L'on pouvait à tout moment se faire trucider
Et comparativement
Et historiquement
La criminalité de sang est très fortement en baisse
C'est la petite délinquance qui est sans laisse
De petits larcins sans réelle gravité
Et à propos du sang de la criminalité
Sur cent personnes incriminées
Quatre vingt six pour cent
Sont des hommes
Quatorze pour cent
Sont des femmes
Encore de l'apprentissage
Encore du dressage
Les hormones de la culture
La culture des hormones
Comme l'expression des gènes devenant aphones
Quand c'est toujours l'environnement socioculturel qui téléphone
Car toute culture
Car toute niche environnementale
Frères, soeurs, parents, grands-parents, oncles, tantes
Tout un fatal qui y plante sa tente
Voilà qui nous tamponne
Voilà qui nous biberonne
Bien plus que les médias, l'école ou l'université
D'irrésistibles nichons d'irréfragabilité
Dont nous nous nourrissons jusqu'à l'ébriété !
Surgit maintenant et totalement
Toute une télésurveillance, tout un plan
Deux milliards d'euros de chiffre d'affaires
En France et par an, toute une mayonnaise policière
Il devrait y avoir des panneaux
Avec des slogans faussement rigolos
" TRAVAILLE, CONSOMME, ET FERME TA GUEULE "
Antienne de manifestation que j'entends encore
Dans ma caboche, jamais cela ne dort
Vendre sa viande et à propos de viande
Il faudrait arrêter d'en manger
Ou au pire, bien diminuer
Alors que tout le vivant a de la sensibilité
Très esbaudissant, alors
Ce mauvais sort sur tant d'espèces menacées
Et même pour certaines déjà éradiquées
Avec un sursis de temporalité
Le tigre sauvage
Mais c'est déjà d'un autre âge
Batraciens, tortues, le rhinocéros blanc
Fleurs, arbres, orangs-outangs
Chiroptères d'Europe, koalas, marsupiaux
Et tant d'autres comme les récifs coralliens
Avec maintenant du dégel
La Sibérie nous en prépare une belle
Des virus inconnus s'échappant
D'autres passés, d'autres temps
Notre système immunitaire y sera incompétent
Personne n'y sera préparé
Personne n'y sera vacciné
Et à moins d'autres façons de penser
Et à moins d'autres façons de se comporter
Et à moins d'autres façons de vivre
Mais déjà une minorité s'y livre
Pour de l'avenir possible, écrire le livre !
 
Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Paraphysique de l'ultracrépidarianisme randomisé

1 Décembre 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

Justice de classe
Justice de genre
Avec le physique de la femme, encore
Du beau ou du laid, comme une chevaline race
Femme déjà jugée, physique qui plaît ou agace
Mais sur cent crimes
Quatre vingt six crimes
Sont commis par des hommes
De la fabrication des mâles, en somme
Violence compétitive encouragée
Et à tout cela, rien, de vraiment purement hormonal
Quand il s'agit de l'organisation du capital
Mais aussi de la fabrication de la femelle
Être soumise et sensuelle
Violence compétitive édulcorée
Pas le strict besoin de sociologie
Pas le besoin strict de criminologie
Pour quiconque, à cela, réfléchit
C'est comme pour tout virus
Car avec beaucoup plus d'hôpitaux
Et pour le personnel soignant, des moyens colossaux
Tout virus serait un minus
Et puis
Rien que la pollution de l'air
Hélas, sans que l'on exagère
48000 personnes par an, meurent
Ce chaque année, en France, ne suscitant, néanmoins, aucune peur
Le monde spectaculaire marchand
Et à bout touchant
Tout ce qu'il touche, justement, l'infectant !
Toute une imputabilité
Intrication quantique généralisée
Une même particule d'ici
Est à la fois, en son double, dans une autre galaxie
Avec des particules aux sociétés
Des marqueurs anthropiques
Des marqueurs numériques
Des marqueurs robotiques
Création
Application
Utilisation
Consommation
Technologisation
Industrialisation
Avec derrière toute une capitalisation
Du tous contre tous
Du toutes contre toutes
Personne avec personne
Et surtout personne pour personne
Tout un monde madré
Dans une habile apparence de sororité
Sur notre planète Terre
Aujourd'hui comme hier
C'est au tout réactionnaire
C'est au tout génocidaire
Parfois, il est accordé un peu d'air
Qu'ainsi, la marchandise se régénère
Scotomiser toutes les misères, en faire de la lumière
Mais, lumière de la mémoire
La mémoire de la lumière !
Partout, des ceintures industrialisées et donc asphyxiées
Avec des populations sacrifiées
Telle la commune française de Lacq
Quand la pollution tombe plein lac
Maladies mortelles depuis plusieurs décennies
Vingt-et-une usines à haut risque, et oui
De l'usine à gaz
Certes, ce monde actuel est une chambre à gaz
Du soufre, de l'acide sulfurique, au tout naze
Avec au moins 140 polluants recensés
Des effluves odeurs nauséabondes à dégueuler
Et tout cela sans aucune hyperbole
Car le tout-venant y ayant son bol
Et finalement, tout le monde s'y colle
Même si le plus souvent, l'hypocrisie, souveraine, y décolle
Il en va ainsi de la censure
Il en va ainsi de la culture
Contre toute réalité criant à l'ordure
Avec comme typique réprouvé
Feu ( 1940 - 2020 ) feu Pierre Guyotat
" Eden, Eden, Eden ";qui fut, et que revoilà
Sans compter
Tous les manuscrits qui furent refusés
D'illustres subversifs inconnus à jamais oubliés
Ou pillés, par des comités de lecture
Qui de tout rejet littéraire font une confiture
Car le compte d'auteur est de trop grande cherté
Pourtant, par tous les grands poètes du passé, il fut pratiqué
En effet, sans aucun réseau, sans aucune chapelle certifiée
Sans aucun entregent, partout, du répudié !
Du monde et de ses affaires
Tout cela sous le contrôle de divers lobbys milliardaires
Qui sont à l'évidence les propriétaires
Que ne peuvent inquiéter, aucun crachat, aucun pamphlétaire
Financiers et producteurs
Du cinéma,de la télévision, comme chatte en chaleur
En France et dans le monde entier
Financiers, producteurs
De la science, du théâtre, de la musique
De la littérature, de la poésie, toute une métrique
Et bien entendu, toute élection, toute politique
Le capital n'est pas Bisounours
Le capital, c'est la vitesse, c'est la course
C'est le premier qui compte
Tout le reste est du décompte
Tout le reste est un mécompte
Elles sont depuis longtemps attaquées
Les conditions de la survie
Les conditions de la sous-vie
L'on a pu, l'on ne peut que le déplorer
Plus aucun ou presque, lieu de vie
Comme " La croix des quatre chemins "
Pour de l'adolescence dévastée, maltraitée
Mais elle l'est toujours, cependant, dans une sotte société
Donc, du Dolto, du Freud, de la thérapie plus humanisée
De l'éducation avec moins de haine et avec plus de respect
De l'alternative plus soft à l'éducation autoritaire, il est vrai
Dans une campagne montagneuse auvergnate, isolée
Quand quelquefois, autre chose est expérimentée
Même si cela n'est pas encore la panacée
De toute une intrication biopsychosociologisée
Avec de l'ultracrépidarianisme randomisé
Mais c'est sur l'ensemble de la planète
Comme l'aurait dit,  feu ( 1814 - 1876 ) Mikhaïl Bakounine
Géant au sens propre et au sens figuré, avec son anarchie vitamine
Que la non autorité devrait faire fête !
 
Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 
 
 
 

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