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Société générale de sotie, capitalocène

24 Juin 2019 , Rédigé par Patrice Faubert

Décapitaliser
Décapitalisation
Décapitalisez
Décapitalisons
Socialiser
Socialisez
Socialisation
Socialisons
Sociétalisons
Sociétalisation
Sociétaliser
Sociétalisez
Toute misère nourrit le fascisme
De l'indigence, de la frustration, de la violence
Toute l'éloquence du capitalisme
Quand tout est devenu pure démence
L'anthropocène
N'est, forcément, que l'expression
Du mortifère  capitalocène
Tout nationalisme
Le met en scène
Dénationalisons
Dénationalisation
Dénationalisez
Dénationaliser
Comme une analyse muographique
D'une seule vraie image photographique
Comme de tous les migrants
Comme de toutes les migrantes
Et en Europe, une migration non arrivée
Est une migration noyée
Pour fuir la guerre, et cela pourrait aussi nous arriver !
Tout étant menacé
Tout pouvant, encore, être atomisé
Lundi 6 août 1945, Hiroshima
Toute une abomination, vite oubliée
6000 degrés Celsius
Et pour la température du soleil
Désolé, c'est du numérus clausus
70.000 morts et mortes au moment de l'explosion
Pour la raison humaine, ô suprême vexation
Ville rasée à 90 pour cent, et très vite, du sans pareil
Et toute ritualité faussement défensive
Ne peut-être une justice restaurative
Pour le capitalocène, aucune sortie
Dans une société générale de la sotie
Là où l'on naît
Là où l'on vit
Dans sa classe sociale
Divers déterminismes du capital
Pour une heure
Pour un mois
Pour des années
Pour toujours
Au mois ou à l'année
Toutes les cases, il faut cocher
En voyage ou en location
Locataire ou propriétaire, toute une vie de privation
Les bourgeoisies riches croient pouvoir s'en sortir
Cependant, de la catastrophe, elles aussi, ne pourront partir
Certes, l'attente est plus confortable
Dans la précarité, c'est encore plus abominable
Comme des résidus en bouteille
Vinification des additifs et des auxiliaires
Du pinard technologique
Du vrai poison, qu'il soit cher ou pas cher !
Jamais, un système ne fut aussi fort
Pour le tout énergivore
Dans ce monde au tout prostitué
La connerie, en tête, pour gouverner
Prétendants, prétendantes, pour s'y disputer
Nonobstant
Le plus vieux métier du monde
Ni la prostitution ni toute fronde
Mais, et oui, la neurochirurgie
Car l'entraide, est très ancienne, c'est ainsi
Sinon, l'espèce humaine, ne serait déjà plus, ici
Mais si la vie
Que nous nous faisons, c'est l'enfer
Alors, la mort, cette délivrance, serait le paradis
Plus aucune conscience, plus aucun conflit
Molécules disséminées dans l'Univers Plurivers
Et voici maintenant, le monde devenu forum des hackers
De la cybercriminalité étatisée
Chaque groupe de 5, avec une réputation validée
Récupération des données sur les serveurs
Analyse des données revendues à tout profiteur
Couverture du groupe secret
Pour tout Etat, des groupes privés, immunisant ses laquais
Et même des gens que l'on pourrait faire chanter
Mafia numérique, menaçant sur le net, de tout balancer
Sauf, et encore, si le deal est exécuté
Avec donc, et officiellement sans liminaire
De nouveaux agents exécutants, hackers
Découlant de toute une individualisation de pratiques sociales
Avec du lien social, comme une disparition
Toute une vie sociale en accélération
Une constante pression à la réussite
Donc, consolider le capital, qui vous y invite
S'adapter, se conformer, se formater
Par les autres, ne pas se faire rejeter
Dépression de la réussite
Réussite de la dépression
Car
Sous le capitalocène, que des échecs et aucune réussite !
 
Patrice Faubert ( 2019 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 
 

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L'ordre contre l'harmonie

18 Juin 2019 , Rédigé par Patrice Faubert

Printemps 1989, Chine
Et voici, hélas, Tian'anmen, qui s'incline
Le mai 68 chinois
Qui, pendant presque deux mois
Embrasa, une partie de la Chine, et surtout Pékin
Valeureux et courageux mouvement estudiantin
Que tout un peuple, pendant deux semaines, soutint
Mais, les bureaucrates staliniens
Firent appel à l'armée
Aux pires éléments de l'armée
Pour tout exterminer
Des tas d'étudiants
Des tas d'étudiantes
Sous les chars furent aplatis
Sous les chars furent anéantis
La dernière grande révolte populaire
Avec même de l'autogestionnaire et du libertaire
Il fallait donc que cela cesse
Et donc, rien sur cette vérité, dans la presse
Du national
De l'international
Des milliers de mortes et de morts
Un étudianticide
Tout pouvoir est un génocide !
Mais
Silence radio
Mais
Silence télé
Comme de nos jours
C'est-à-dire depuis toujours
Tous les médias
Aux mains des diverses droites
Et à propos
Du silence télé, du silence radio
La voix de leurs, de nos maîtres
De quelle droite êtes-vous ?
Puis, tout s'automatise, ma foi
De l'automatisme langagier chinois
As-tu bien mangé ?
De l'automatisme langagier français
Cela va ou ça va ?
Mais une seule réponse
Oui
Une réponse automatisée
Une réponse conditionnée
C'est de la pensée militaire
C'est de la pensée réactionnaire
Sachant que tout se récupère
Et à ce sujet, faisant fi, de toutes les chimères
Le système capital devait pour se perpétuer
Fabriquer de l'insécurité généralisée
Quand plus personne
Ne pourra plus voir personne en peinture
Chacun, chacune, se traitant d'ordure
Le sauve sa peau, qui tout, défigure
Même si des plantes régénératrices
Même si des plantes dépollutrices
Stockant les métaux lourds du sol
Comme le Nickel
Ainsi de Alyssum murale
Ainsi de Geissois pruinosa
Comme aussi le manganèse
Ainsi Grevillea exul
Toute une renaturation
Atténuant toute une pollution !
Mais peut-on réparer l'irréparable
Quand le mal, si profond, devient inattaquable ?
Face à l'échelle humaine
Qui n'est pas une échelle géologique, ô déveine
Et donc les quelques plantes hyperaccumulatrices
Ne peuvent à elles seules, être les initiatrices
Des tutrices de la résilience
D'un monde pollueur en pleine démence
Même si
Berkheya codii
Plante stockant Nickel, platine, palladium
Arabidopsis halleri
Plante stockant le zinc et le cadmium
L'archéologie de notre société actuelle
Moins de traces que la grotte de Bruniquel
C'était pourtant
Il y a environ 175 000 ans
Déjà, l'appropriation du monde souterrain
Certes, aucun métro, aucun train
Mais Neandertal savait symboliser
Mais Neandertal savait édifier
Avec le feu parfaitement maîtrisé
L'ordre est toujours contre l'harmonie
L'harmonie de l'anarchie
L'anarchie de l'harmonie !
 
Patrice Faubert ( 2019 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 
 

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Collapsologisme, effondrisme, catastrophisme

8 Juin 2019 , Rédigé par Patrice Faubert

De quoi être, aujourd'hui, mais déjà hier, pessimiste
Quand tout le monde se conchie
Quand tout le monde se copie
Copieur, avant toi, je l'avais dit
Copieuse, avant toi, je l'avais dit
En tous domaines, des conflits et des hiérarchies
Bientôt, plus rien à boire et à manger, tout sera fini
Tout le monde d'accord, c'est ainsi
Quand une personne se meurt dans la rue
Et que personne ne s'arrête plus
Je crois que tout est dit
C'est au tout flingue
C'est au tout dingue
Avec toutes les ordures qui nous gouvernent
Et qui de leur mépris, de leurs crachats, nous mènent
De quoi avoir un malaise, un gilet jaune, du vertige
Et en cela, se battre pour tout, aucun litige
De quoi être effondriste
De quoi  être collapsologiste
De quoi être catastrophiste
Certes, pour beaucoup, mes écrits sont à chier
Tant mieux pour tous les constipés
Tant mieux pour toutes les constipées
Qui, rien que pour cela, devraient m'en remercier
Mais de toute cette animosité, aucun vertige
Et à propos de vertige
Et bien, oui, j'ai le vertige
D'une enfance de timidité, un vestige
Ou autre inconscience de ce litige
Tiens, 2 juin 2019, ça va le faire
Un peu de soleil
Nudité en écologie naturelle
Me voici près d'une rivière
Dans cette abandonnée, mais jolie ville de Tonnerre
Quand, enfin, tout le corps prend l'air
Mais encore
Jamais, la pudibonderie ne dort
Soit, un peu partout
De la sexualité
Encore et toujours, un tabou
De la nudité
Encore et toujours, un tabou
Comme de se faire bronzer
Pas le droit de paresser
Pas le droit de méditer
Car, il faut toujours, s'agiter
Le système capital, il faut l'alimenter
Foin de l'écologie politique
De feu ( 1937 - 1973 ) Pierre Fournier, un des premiers théoriques
De nos gueules toutes ouvertes
La propagande marchande imposée, toute offerte
De l'humanité en suit toute la défaite !
Nous ne savons même plus
Nous rencontrer
Quand, parfois
De mêmes affinités
Dans les manifs, par exemple, cela peut se constater
Viens chez moi prendre un verre
Mais non, rien à faire
C'est la peur qui nous enserre
Au secours, la police
Une personne veut m'inviter chez elle
Voilà ce que c'est
En boucle, les mêmes faits
Changer les choses, mais pas maintenant
Cela serait le moment ou jamais, nonobstant
Surinformation de la peur
Dans tous les cerveaux, y mettre de la terreur
La peur de toi
La peur de soi
La peur de l'autre
La peur des autres
Et chiche !
Hors tout bakchich
Et si nous nous racontions ?
Et si nous nous visitions ?
Portes ouvertes
Et si enfin
Nous nous regardions ?
Nous nous écoutions ?
Nous nous parlions?
Et si enfin
Nous nous révolutionnions ?
Abordant, enfin
Les sujets qui fâchent, avec passion
Politique, idéologie, religion
Non pour en découdre
Mais, en faisant fi
De tout ceci, de toute cette ménagerie
Tous et toutes ensemble, nous recoudre
Dynamitant
Tous nos engrammes
Codage nerveux en plein vacarme
De tout ce qui nous sépare
Nous devrons en faire le faire-part
Et cela, dare-dare
Avant que tout ne disparaisse
C'est dans la bêtise que l'on s'engraisse
Toutes les religions
Toutes les idéologies
La plupart des idées
La plupart des pensées
Au tout programmé
Au tout engrammé
Au tout automatisé
Au tout déterminé et conditionné
Le savoir
C'est bien cela, un peu de liberté
De pouvoir, de tout cela, se distancier
Tout mettre à la question
Car tout est sujet à la discussion
Car tout cela est sujet à caution !
Alors
Qu'il n'y a plus rien de naturel
Tout tendant à devenir de l'artificiel
Il y a cependant
Environ 700 millions de personnes
Qui vivent dans des forêts tropicales
Vraiment, cela étonne
Sous le talon de fer du capital
Donc
Divers types de population
Agriculture agroforestière
Mais des populations déplacées
Mais des populations éliminées
Mais des populations assimilées
Au tout déforesté
Au tout multiple, au tout divers
Du chercheur au chasseur-cueilleur
Comme en Amazonie
Exploitation minière
Exploitation agraire
Permanence ou intermittence
Logique marchande d'exploitation du milieu
De tout, le capital fait un feu
Comme pour les pâturages, et donc des feux
Représentation de l'interprétation
Interprétation de la représentation !
 
Patrice Faubert ( 2019 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

 

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L'organisation de la dépendance

3 Juin 2019 , Rédigé par Patrice Faubert

Il faut être forte ou fort
Ne jamais se plaindre
Sinon, en solitude, l'on se fait teindre
La dépendance affective et son effet
Moi
Qui, de mes proches, suis si dépendant
Pas matériellement mais affectivement
Beaucoup plus que psychologiquement
Mais
Il faut être habile
Montrer que l'on n'est pas fragile
Sinon
L'on vous troque
L'on vous croque
L'on vous moque
Toute rupture affective
Forcément plus addictive
Quand l'on est vieille ou vieux
Que quand l'on est plus jeune
Car
Avec l'écoulement du temps
De la nostalgie, qui aux tripes, nous prend
De nos diverses mémoires, l'on dépend
Quand il n'y a plus le temps
Trop tard, avec les esprits fatigués
Trop tard, avec les corps épuisés
Quand il n'y a plus le temps
Mais
Qui n'est pas affectivement addicté
Ou ne l'a jamais été
Compagnes, compagnons, proches, enfants, parents
N'est-ce pas !?
Qu'on le veuille ou pas
Pour tous et toutes
C'est bien caché dans sa soute
Seul vrai testament, compagnon de route
Il faut être forte ou fort
Ne jamais se plaindre
Sinon, en solitude, l'on se fait teindre
Toute dépendance affective et son effet
Mais tout est de la dépendance
Dépendance matérielle
Dépendance sexuelle
Dépendance professionnelle
Dépendance affective
Dépendance technologique
Dépendance psychologique
C'est étudié pour
Et cela ne fait jamais de four
Comme pour les élections
Plus que des droites
Pas étonnant, si il y eut une agression
Contre un anarchiste, en ce temps de réaction
Début mai à la librairie Publico
Ce à Paris, coup de poignard de la pensée étroite
Mais avec aussi, toute une récupération
De toute une fausse condamnation
Faux amis en tous genres, et autres organisations !
Pas comme à Montreuil et la boulangerie
Autogestionnaire
Partage équitable des revenus et salaires
Se piquant d'anarchie
" La conquête du pain "
Partout sur le système Terre, cela serait plus malin
Mais
Finalement, le fascisme populiste
Fait ainsi pression
Sur tout droitisme
Petit à petit, leur programme mis en application
Dans cette société de mutuelle détestation
Haine de l'autre en généralisation
Forcément, car
De la fragmentation
De la division
De la séparation
La pensée séparée
Est séparée de la pensée
Le monde entier
Pourrait sans problème, s'autogérer
Pour enfin, se parler, s'écouter, se regarder, paresser et penser !
 
Patrice Faubert ( 2019 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Paraphysique du capitalocène, metteur en scène

1 Juin 2019 , Rédigé par Patrice Faubert

1939 -1945
Neuf millions de chevaux tués
Utilisés, exploités, maltraités
Comme tant d'autres animaux
De perdre la vie
Plus de la probabilité, qu'au loto
Pour les soldats humains
40 millions de morts, au moins
Et impossible, là, d'en faire une photo
De quoi penser
Que l'espèce humaine est tarée
Elle est surtout, n'en déplaise, sous-informée ou mal informée
Avec toujours des minorités
Pour manipuler des majorités
Minorité de la majorité
Majorité de la minorité
Et à propos de maltraitance animale
Du capitalocène et de son fascisme pas si libéral
C'est encore avec l'Angleterre
Qu'avec l'animal, l'on est le moins pervers
Et sur le carnage de toute guerre
Déchiquetant tout corps
Du capitalocène faisant son sport
Il suffit de regarder, sur la question, un documentaire
Pour perdre tout espoir, toute envie
Et c'est à maudire, et c'est à pleurer
Aussi, il faut manifester, il faut se révolter !
Suffirait-il
De tuer tous les chefs de gouvernement
Ou pas de gouvernement
Et attention
Un gouvernement peut en cacher un futur autre
Suffirait-il
De tuer tous les aspirants dominants
Et il y en a aussi, dans le milieu militant
Et attention
Un dominant peut en cacher un autre
Une dominante peut en cacher une autre
Et donc pour un vrai changement
D'autres façons d'être
D'autres façons de penser
D'autres façons de se comporter
D'autres mots à prononcer
Des mots d'anarchie
Des mots de vie
Tout ce dont
Nous n'avons même pas vraiment l'idée
Ou en à peine dans le concept ébauché
Tellement
Nous sommes engrammés
Nous sommes conditionnés
Dans l'autorité
Dans la propriété
Dans la relation aliénée
Enfants, femmes, hommes, une continuité
Et ce, depuis des milliers d'années !
Tout gouvernement
Devenu fasciste, carrément
Et de ce fait, employant
Le mot fasciste, n'importe comment
Pour faire oublier son propre fascisme, forcément
Avec son despotisme, son autorité
Ne supportant plus d'être contesté
Et ce dans le monde entier
Comme en France, ces temps derniers
INTERDIT DE MANIFESTER
INTERDIT DE PENSER
INTERDIT DE SE REBELLER
Sinon
Gazage au cyanure
Avec, plus tard, des maladies qui durent
Sinon
Un oeil ou des yeux en moins
Des mains ou des pieds en moins
Sinon
De la matraque assermentée
Sinon
Du canon à eau pour nettoyer
Oui, vraiment
Soyons, soyez, anti, anti, anticapitaliste
Car, elle n'est pas si longue, la liste
Comme si une manifestation était une saleté
Avec diverses droites fascisantes
S'affrontant pour contrôler les lois du marché
Laquelle saura le mieux réprimer
Laquelle saura le mieux organiser l'inégalité
De la dictature
Puisque toute élection en est la confiture
Car, seule une minorité vote
Car, la plupart des gens, qui en rotent
Et en touche, ils la bottent !
Est-ce trop tard ?
Mais beaucoup de gens en ont marre
On vous l'avait pourtant bien dit
Le seul espoir pour l'humanité, c'est l'anarchie
Pour enfin
La liberté
L'égalité
La fraternité
Ici ou là, dans le désordre
Ici ou là, dans l'ordre
Toutes et tous, gagnant enfin le loto ou le tiercé
Justement sans argent à gagner
Inutile de se rendre sur une autre planète
Cela est vraiment trop bête !
Un jour, qui sait, ce trope
Se transformant, en drop
Ici ou ailleurs
Et pour d'autres heures
Déjà, autres mondes, et hop
Alors que la guerre nucléaire
Comme des gaz incapacitants, flottant dans l'air
Toujours prête à bondir
De toute forme de vie, prête à maudire
27 octobre 1962
Un samedi
Sous-marin soviétique
Méprise, erreur d'interprétation, mirage toxique
Et sur l'Amérique
Ordre donné d'envoyer des ogives nucléaires
Mais le capitaine, courageux, lucide, refusa de le faire
De fait, sans lui, avec l'escalade, plus aucun humain sur la Terre
Vassili Aleksandrovitch ARKHIPOV, sauveur de l'humanité
Et du même genre, tant de faits oubliés
Et du même genre, tant de faits cachés
Et à tout moment, pouvant, hélas, s'actualiser !
 
Patrice Faubert ( 2019 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 
 

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