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Les égos colonisés

10 Janvier 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

" Les syndicats connaissent bien les arcanes de ce complément de retraite par capitalisation, puisqu'ils le cogèrent depuis1964 : la CGC, la CFTC, la CFDT, et FO en assurent la présidence tournante. Les dirigeants de Force ouvrière et de la CGC ne sont pourtant pas les derniers à hurler contre le " cauchemar "  de la capitalisation . "

Le Canard enchaîné ( mercredi 8 janvier 2020 )

Rien ne peut changer
Si chaque personne ne veut ou peut changer
Veut ou peut pouvant se conjuguer
Changer
Sa façon de se vêtir
Changer
Sa façon de se nourrir
Changer sa façon de penser, de lire
Changer sa façon de réfléchir
Sinon
D'une dominance l'autre
D'une exploitation l'autre
D'une fausse contestation l'autre
D'une tyrannie l'autre
Et ce, de l'individu à tout Etat
C'est au pas par pas
C'est au cas par cas
Il faudrait
Ne plus avoir aucune habitude
Il faudrait
Ne plus avoir aucune certitude
Et finalement
Tout ce qui empêche de communiquer
Religions, idéologies, idées
Qui sont des automatismes acquis de pensée
Où toute vraie criticité
Est habilement mise de côté
L'oukase de la pensée de l'économie
Est la pensée de l'économie, dictatorial ukase
Syndicats, partis, organisations, sont ses cases
Abolir l'économie, toujours de marché
Pour cela
Femmes, hommes, enfants, doivent changer !
Toute l'organisation du monde marchand
Se construit sur nos mentalités caparaçonnées, c'est évident
Dans nos cuirasses caractérielles bétonnées, c'est terrifiant
L'on ne peut changer une société
Sans avoir soi-même changé
Si donc, nos mentalités restent inchangées
De nos égos, prisonnières et prisonniers
Car, au fin fond de la réalité
La retraite l'on s'en fiche
L'on ne veut plus bosser du tout
Nos cerveaux sont codés
Nos encéphales sont colonisés
Par l'économie, et toute économie est de marché
Tout y est d'ailleurs de complicité
Les syndicats, tous, et sans exception
Sont avec cela, en cogestion
Pour ainsi, inéluctablement, être en partielle ou totale communion
Pour faussement contester
Pour justement faire tout accepter
Comme à l'ensemble des populations anesthésiées
Trop de recul social fut accepté
Et ce année après année
Et maintenant, juste le droit, sa gueule, de la fermer
Les gens méritent-ils d'être encore défendus ?
Une question taboue car coup de massue !
Faire accroire que tout recul est une avancée
Les mentalités du colonialisme
Et donc de l'impérialisme
Et donc, de l'étatisme
Et donc, de tout nationalisme
C'est ainsi que tout pays industrialisé
Fut colonialiste, eut des colonies
Belgique, Angleterre, Italie
France, Espagne, Hollande
Portugal, Espagne, Allemagne
Etats-Unis, d'autres que j'oublie !
Tout pays colonisateur, un peu ou beaucoup, nazi
Parfois, bien avant les nazis
Et plus nazis que ne le furent les nazis
Avec des gens colonisés, moqués, torturés, mutilés
Avec des personnes humiliées, violées, niées, tuées
Des peuples exterminés
Et tant et tant d'atrocités
Via des individus, nouveaux kapos, aussi
Que le tyran colonial mis au pouvoir, pour le remplacer, ainsi !
Les égos du capital
Le capital des égos
Où personne n'est véritablement égal
Où toute injustice se perpétue, c'est fatal
Tout se réactualisant d'un même canal
Comme l'Allemagne, déjà, premier pays génocidaire
Avec la Namibie, bien avant feu Hitler
Nettoyage, lynchage, extermination
D'une façon l'autre
Tout étant une perpétuelle répétition
Est génocidaire et totalitaire, toute colonisation
Comme celle des esprits par la marchandisation
Et là, aucune légende, tout a été expérimenté et donc, vérifié
Pas comme le 14 avril 1933
Le soi-disant monstre du Loch Ness
Le mirage thermique inversé
Ne fut pas, bien sûr, envisagé
Mais pas de mirage, hélas, au même moment
Pour la montée du nazisme, évidemment
De nos jours, l'on manifeste, simplement
Pour diminuer, les coups de fouet, c'est sidérant
Alors, rien d'étonnant, méga-feux en Australie
Les disparitions d'espèces en gigantesque furie
En attendant d'autres pays !

Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

 

 

 

 

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La prévision de l'ignorance

7 Janvier 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

Un copain, Arnaud
Avait trouvé le mot qu'il faut
Les mots qu'il faut
Je suis un spécialiste de l'ignorance
Qui dénonce l'ignorance du spécialiste
En effet, banco
C'est quoi le vrai, c'est quoi le faux
Et là sans l'interrogation
Et là sans l'affirmation
Mais, vous vous répétez, l'ami
Mais, c'est sans fin, ainsi
Se donner tant de mal
Contre le fantomatique capital
Et puis
Dès que l'on écrit
L'on se fait beaucoup d'hommes ennemis
L'on se fait beaucoup de femmes ennemies
Quoique l'on dise
Quoique l'on écrive
De toutes façons
Alors, autant vider sa tête sans tergiversation
Mettre ses tripes sur la table, sans aucune restriction
Ma seule spécialité
Docteur en ignorance
Sans ignorer l'ignorance de toute spécialité
Et c'est d'ailleurs par l'ignorance que le monde est gouverné !
L'ignorance de la prévision
La prévision de l'ignorance
D'autant plus
Que l'on ne peut plus rien prédire
Présager vraiment de tout avenir
Avec de nouvelles données
Rien ne pouvant plus être identifié
D'un régime politique l'autre
D'une administration l'autre
D'une époque l'autre
Aucune vraie épuration
Tout n'est qu'une continuation
Par d'autres moyens
Par d'autres chemins
Avec d'autres moyens
Avec d'autres chemins
Tout temps nous déterminant
Dont nous sommes, à chaque fois, l'enfant
Comme dans le film de feu ( 1885 - 1957 ) Sacha Guitry
" Le destin fabuleux de Désirée Clary "
Et si l'on me dit
Inclassable, tant mieux ou tant pis
Car, tout trahit
Car, tout est trahi
Car, tout a été trahi
Déjà, le prétendu bio et son industrialisation
Biogaz et méthanisation
Après tout, nous naissons dans l'urine
Du sac amniotique qui nous bine
De la source naturelle
De quoi lui faire la part belle !
Un être humain
Urine environ 1,5 litre par jour
Un cheval
Urine environ dix litres par jour
Un éléphant
Urine environ 80 litres d'urine par jour
Et si de l'argent, il y en a
Dans les poches du patronat
Comme dans les poches des milliardaires
Mais ils sont difficiles à traire
Pas comme, par exemple, sous le fascisme mussolinien
La femme, horreur, devenue femme laitière
Neuf enfants, au régime, pour lui plaire, il fallait faire
Tout nationalisme est nataliste, on le sait bien
Et à cet égard, en France, il y eut feu, le maréchal Pétain
Et il y a donc, encore sous la table
Des énergies naturelles et renouvelables
Surtout dans nos préjugés pitoyables
Donc, il y aurait de quoi faire
Avec un nouvel imaginaire
Pour utiliser de nouvelles énergies
Pour surtout, vivre de nouvelles vies, aussi
Toute une application extraordinaire
Loin de toute officine militaire
Qui pour la torture sait y faire
Comme pour la soumission
Comme pour la dépersonnalisation
Comme pour l'électroconvulsion
Pour l'hypothermie
Pour les phobies
Douleurs auto-infligées
Noyades simulées
Pas seulement aux Etats-Unis
Pas seulement les nazis
Coca-Cola, John Wayne, USA
Et tout ce qui s'y relie, voilà
Comme ce que nous absorbons, c'est bien cela
En France, air, eau, aliments
Cinq grammes de particules de plastique
Simplement un constat, sic
Par personne et par semaine
Du spectaculaire intégré, de la société marchande, voilà notre peine
Tout étant mélangé dans ce qui est lié
Tout étant lié dans ce qui est mélangé
Et tout est lié
Et tout est mélangé
Avenir, présent, passé !
 
Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Et elle est à qui, la rue ?

4 Janvier 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

Tous contre tous
Toutes contre toutes
Tous contre toutes
Toutes contre tous
J'entends que l'on tousse
Du capital, c'est pourtant la trousse
L'individualisme
L'égoïsme
Chacune sa merde
Chacun sa merde
Certes
Pour comprendre l'autre
Paradoxe du bon apôtre
Il faut être égoïste
Il faut être individualiste
Sinon
L'esprit de troupeau et ses conséquences
Qui abolit toute vraie conscience
Mais sans aucun corporatisme
Mais dans un collectivisme
Tendance feu le géant, aristocrate et anarchiste, Bakounine
Contre le capital, véritable seule vitamine
Cela n'est pas dépassé
Simplement, cela reste toujours à appliquer
Certes
Avec une nouvelle époque
Avec un nouveau froc
Comme avec les culs nus
Et elle est à qui, la rue ?
Elle est à nous, à nous, à nous !
J'aime ces folles et ces fous
Qui en vérité
Qui en réalité
Ne sont ni folles ni fous
De quoi, néanmoins, un peu, espérer
Car nous sommes codés, conditionnés
Car nous sommes programmés, automatisés
Car nous sommes déterminés, engrammés
Au niveau subconscient et au niveau conscient
Femmes, hommes, enfants
Et surtout, donc, les bébés, forcément
Pour tout accepter, pour nous taire, pour l'inhumanité !
Pour d'autres vrais rapports sociaux
Être dans l'incapacité
De même les imaginer
Sur ce plan, nous sommes des idiotes et des idiots
Par exemple, chaque syndicat défendant son petit bout de gras
Mais c'est bien tout, voilà !
Dans le même temps
Mais sur un autre plan
Nos savants savent peser
La masse de la Voie lactée
890 milliards de soleils
Ce à dix pour cent près
Décalage sempiternel, science et conscience, toujours pareil
Donc
C'est surtout de la matière dite noire
Car
Les planètes et les astres
C'est environ soixante milliards de soleils
Mais attention
Vérité d'un jour
Pas vérité toujours
Et souvent même, erreur du demain
En tous domaines
En toutes choses
Car
Toute généralisation est erreur
Car toute généralisation est terreur
Comme prendre un coup d'Etat
Et c'est toujours le cas
Pour une révolution sociale
Alors que c'est du thatchérisme libéral
Feu Margaret Thatcher fut en avance d'un fascisme libéral !
Donc, fin 1998, en Roumanie
Un régime qui était fini
Les tyrans Ceausescu, de la pensée, des poubelles
Mais encore de la diversion militaire
Construction émotionnelle réactionnaire
Là, sans aucune élection
Avec le dictateur Macron, ce fut avec des élections
Coup d'Etat démocratique
Coup d'Etat militaire
Coup d'Etat économique
Coup d'Etat cybernétique
Coup d'Etat informel
Coup d'Etat formel
Tout en un
Au tout illusionnant
Et même avec de bons yeux
L'on n'y voit que du feu
Il y faut préférer
Les derniers véritables chevaliers
Brigades internationales en Syrie
Comme en 2016, 2017, Raqqa, pour y risquer sa vie
De l'aide aux valeureuses et valeureux kurdes
Pour combattre les fascistes religieux de Daesh
Quand aucun pays ne s'y dépêche
Brigades internationales
Contre le fascisme religieux, certes, mais aussi libéral
Communistes, socialistes, anarchistes
Tant sont tombés, la mort a ses listes
Mais les guerres
Il faut les refuser, ne pas s'y complaire
Et ce sont, le plus souvent
Des pauvres qui les font, évidemment !
Chair à canon
Chair à profit
Chair à instrumentalisation
Chair à manipulation
Chair à manifestation
Car, pour faire la guerre
Les riches sont souvent en exemption
La guerre du Viêt-Nam en fut l'illustration
Aux-Etats-Unis
Comme aussi bien dans d'autres pays
Mais il faut bien le savoir
Pour abolir vraiment tout pouvoir
De par notre éducation
Et donc toute une automatisation
Chaque personne veut dominer
Faire aboutir son projet
Sans que l'autre au différent projet
Ne vienne l'en empêcher
Et cela s'apprend dès le berceau, dès l'école
Et depuis bébé, nous buvons ce bol
Il suffirait que le projet individuel
Ne soit plus que le projet universel
Tous pour toutes
Toutes pour tous
Toutes pour toutes
Tous pour tous
Pour enfin avoir le droit à tout !

Patrice Faubert ( 2019 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

 

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Le trafic des trafics

3 Janvier 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

N'importe qui
Peut dire du mal ou du bien
Sur n'importe quoi
Sur n'importe qui
Cela est bien certain
Comme dans les sordides
Histoires de couples, ô tout candide
Rien n'étant vraiment vérifiable
De par soi-même, sondable
Du ressentiment
De la haine
De la diffamation
Des incompréhensions et frustrations
Toute une accumulation
L'on ne connaît, vraiment, rien des coulisses
Et en tous les domaines, c'est la même glisse
Il faut donc tout croire
Il faut donc tout boire
Car à moins
Et c'est pour le moins
D'avoir vécu ou de vivre la chose
Toute vérification met sur pause
Un peu comme l'Histoire
Et aussi, des petites histoires
Et aussi, des grandes histoires
Il faut donc tout croire
Il faut donc tout boire
Tout étant une affaire
Voilà pourquoi, c'est si précaire
D'appréciation
D'interprétation
Appréciation de l'interprétation
L'interprétation de l'appréciation !
Tout ce qui se passe
C'est du pile ou face
Histoire de l'affabulation
L'affabulation de l'Histoire
Car finalement, pour tout évènement
Nous n'y étions pas, forcément
Et qui l'eut cru
Nous tomberions des nues
Si toute réalité, nous la savions, nous l'avions su !
Mais nous sommes, avant tout
Mais nous sommes malgré tout
Et même malgré nous
Et donc surtout
Ce que nous consommons
Comme les transports maritimes
Une effroyable source de pollution
Vêtements, nourriture, objets divers
Des paquebots sur toute la Terre
Tout un marché de l'horreur
L'horreur de tout marché
Et même sur les espèces menacées
Une espèce disparaissant toutes les huit minutes
On nous le dit, et puis après, zut
Et c'est le pangolin
Pour ses écailles, ébouillanté, c'est cruellement crétin
Et c'est le concombre de mer
Pourtant utile jardinier de la mer
Avec des légendes associées, qui en font la cherté
Toujours en relation avec la rareté
Avec du lucre assermenté, au tout braconnier !
Trafic du fric
Fric du trafic
Trafic de drogue
Trafic de femmes
Trafic des âmes
Trafic de l'économie
L'économie du trafic
Trafic animal
Trafic électoral
Trafic médical
Trafic routier
Trafic ferroviaire
Trafic de tous les trafics
Fermes géantes de concentration animale
Usines géantes d'extermination animale
De part notre consommation
De tous les trafics, plus ou moins, nous participons
De tous les trafics, plus ou moins, nous collaborons
Le trafic des métiers
Du manutentionnaire, de l'ouvrier spécialisé
Et même l'ouvrier qualifié
Au plus c'est dur, plus c'est mal payé
De quoi, faire grève, toute l'année
Femme ou homme de ménage, grande pénibilité
Et je ne peux, beaucoup, qu'en oublier
Comme dans les hôpitaux, il y faut un moral d'acier
Et à l'inverse, plus un métier est bien rémunéré
Plus c'est gratifiant, pratique pour y fainéanter
Et surtout pour y être respecté et admiré
Mais les vrais flemmards, c'est assez évident
Sont en haut des hiérarchies, c'est épatant
Cela pullule surtout, dans tous les gouvernements !
 
Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 

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Paraphysique de l'atomisation du monde

1 Janvier 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

En Chine
Urine d'enfants
Sans que l'on s'échine
Pour des pommiers, ainsi, poussant
De l'urine récoltée dans les écoles
Enfants contents d'apporter leur obole
Certes
En matière de liberté
La Chine a des chaînes aux pieds
Mais comme un peu partout, finalement
Chaque pays se comparant et se dédouanant
Alors
Qu'au tout globalement
C'est au tout polluant
Forcément
Car tout gouvernement est dément
Menteuses, menteurs
Profiteuses, profiteurs
Pollueuses, pollueurs
Faux alarmisme
Faux catastrophisme
De tout nouveau gouvernement
De tout ancien gouvernement
Mafieuses et mafieux
Toute honte bue
Cela montrerait même son cul !
Sachant
Que toutes les espèces de la planète Terre
Sont menacées, il faut s'y faire
Comme les récifs coralliens
Et une espèce sur trois en provient
Fongicides, pesticides
Toute une encyclopédie prophylacticide
Et pas seulement dans les champs
Mais aussi les terrains de sport
Sous les sols, au tout dégoûtant
Sur la totalité du monde, le capital, sa mort, la sort
Le capital
De la partition
Le capital
De la division
Comme en Inde en 1947
Des millions de gens déplacés
Des centaines de milliers de personnes tuées
Et donc, avec cela, advint le Pakistan
Encore les religions, c'est désolant
Là ou ailleurs
De tous temps, de toutes les heures
Avec le capitalisme privé ou étatique
Toute vie humaine est un coup de trique
Comme les pénitenciers pour enfants
En France, la Petite Roquette, souffrance et maltraitance
Toutes oubliées, leurs doléances !
La rue était leur foyer
Sans argent, sans domicile, il fallait vagabonder
Des délits jusqu'à 1935
Et plus tard, des maisons de correction pour jeunes détenus
De la torture, il fallut
Pour que l'on s'en ému
Les plus jeunes avaient sept ans
Silence absolu comme seul règlement
Des tas de mauvais traitements
Et toujours se réactualisant
La tête couverte comme à Guantanamo
Treize heures de sommeil,  immobilité imposée
Douze pour cent de mortalité
Au tout cloisonné
Voilà cette France
Qui à l'humanité, fut une offense
Prison de la misère
Misère de la prison
Bref
Pour en revenir à la pollution
Fibres textiles, vêtements toxiques
Microparticules de poison chimique, tout ceci intoxique
Eau, sable, pour les textiles, traiter
L'eau, un or bleu, qu'il faut déjà payer
Demain, l'air que l'on doit respirer !
Tout ceci, polluant
Oui, c'est assez désespérant
Comme
Cinquante milliards de bouteilles en plastique
Jetées à la mer, une banalité, sic
Une industrie textile
Pire que les avions
Pire que les voitures
Pire que le transport maritime
Cela semble pourtant difficile
L'industrie du textile
1,2 milliard de tonnes, pas de quoi s'étonner
Des gaz à effet de serre
Et ce, année après année
Deuxième cause polluante, de quoi s'inquiéter
Qui donc, après le pétrole, premier, peut aussi bien polluer
Et hop, allez
Toutes dénudées
Tous dénudés
Avec le changement climatique, il faut bien plaisanter
La bêtise du déni
Le déni de la bêtise
Comme les chasseurs
Se considérant comme peu destructeurs
Et qui sont, là, de grands déconneurs
La logique inepte des tueurs !
Sous le capital
Tout est contradiction
Tout et son contraire, en élection
Sauf pour tout refaire
Sauf pour vraiment tout fiche par terre
Comme en France, au tout numérique
Alors qu'existe l'illectronisme
Dix sept pour cent de la population française
Mais l'illettrisme électronique
N'est pas, forcément,  l'illettrisme littéraire ou scientifique
Et l'on finit par se demander
Si tout ne finira pas incendié
Comme très très jadis, à Rome, 6 jours, sept nuits
Juillet caniculaire, et sans parodie
Un million de personnes, par la peur, gens terrorisés
Donc, l'éternel retour
Par différents détours
Inondations, incendies, guerres, conflits
Sans cesse, d'un déguisement l'autre, en infini !
 
Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 
 
 

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